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Que vous soyez Spritz, Martini Dry, Virgin Mojito ou Blue Lagoon voilà de quoi animer vos apéritifs estivaux…

Entre amis, en famille, le CRAPS, le think tank de la Protection sociale, vous lance un défi !

Pour vous, praticiens ou curieux, experts ou citoyens assumés, Anaïs Fossier, Responsable des études au sein de notre think tank, et Hervé Chapron, Président du comité éditorial ont sélectionné 18 questions, couvrant l’ensemble du spectre de la Protection sociale, qui au rythme de deux par semaine vous seront proposées au cours des mois de juillet et août.

Qui a dit, à quelle date, combien de… Attention, pendant cet été qui s’annonce torride, il n’est pas question de sécher !

Quoi qu’il en soit où que vous soyez le CRAPS, votre think tank, vous souhaite un bel été !

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Q10/18 – Qui a dit : « le contrat d’aide au retour à l’emploi c’est le STO » ?

1 – François Mitterrand

2 – Georges Marchais

3 – Marc Blondel

– Marc Blondel –

Avec la convention d’assurance chômage mise en application en juillet 2001, c’est une nouvelle conception de la relation assurance chômage/demandeur d’emploi qui est expérimentée à travers le « Plan d’Aide au Retour à l’Emploi » (PARE). Pierre angulaire du nouveau dispositif, le PARE se veut être une contractualisation de cette relation qui s’articule autour d’une indemnisation désormais non dégressive, d’un accompagnement personnalisé tout en maintenant la protection sociale antérieure des intéressés. Marc Blondel et FO sont vent debout contre cette convention. A la suite, FO perdra la Présidence de l’Unedic alors qu’elle était depuis 1958 la pierre angulaire du paritarisme au sein de l’Assurance chômage.

Marc Blondel (1938-2014). Secrétaire général de la CGT-Force ouvrière du 4 février 1989 au 7 février 2004 (réélu en mai 1992, mars 1996 et mars 2000), défend farouchement les principes d’indépendance de Force ouvrière ; il mène le combat revendicatif sur les retraites (contre le plan Juppé de 1995, contre la loi des 35 heures, contre la réforme Fillon de 2003), pour la défense de la Sécurité sociale (contre sa fiscalisation), pour la laïcité ou encore pour la libre négociation.

Source : www.lefigaro.fr